Alors que le maillage local des territoires les plus enclavés constitue un atout, on constate aujourd'hui le besoin de réactiver certaines lignes et l'absence de moyens financiers correspondants. Ne faudrait-il donc pas inclure dans les cahiers des charges des lignes à grande vitesse l'obligation de réanimer certaines petites lignes annexes, par exemple sur l'axe Bordeaux-Paris ?