Il n'est pas dans notre intention de créer des « usines à gaz » qui irait à l'inverse de ce que nous recherchons, c'est-à-dire la rapidité et l'efficacité. Je tiens également à préciser qu'il n'est pas question de remettre en cause le travail des associations. Mais effectivement toutes les femmes ne passent pas par les associations et nous avons vu lors de nos auditions qu'il n'existe pas des associations partout. Il faut laisser cette porte ouverte mais ne pas partir de l'idée que toute femme victime va se tourner vers une association. Si nous voulons une ordonnance, c'est pour combler ce vide quand parfois il existe.