La France devra décider si elle prétend à la présidence de l'Agence. Il s'agit là aussi d'une décision politique. En tout état de cause, sauf à risquer une grave question existentielle, l'AED devra réussir à transformer en programmes les cinq stades de préparation qui lui ont été confiés : la lutte contre les mines navales, les hélicoptères de transport lourd, les drones tactiques, la formation des pilotes de chasse et la protection contre les attaques bactériologiques. On juge l'arbre à ses fruits.