Les engagements chiffrés n'ont pas la même signification selon la base de calcul retenue. A Kyoto, les transports aérien et maritime ne faisaient en effet pas partie du champ. De plus, il faut s'interroger sur la traduction économique de ces engagements, notamment pour nos entreprises ; par exemple, nous n'avons aujourd'hui en France aucune usine de fabrication d'éoliennes. Pouvez-vous nous apporter des précisions ?