… mais de veiller à ce que des jeunes qui ont choisi l'apprentissage, qui cherchent une entreprise, qui ont commencé et souhaitent s'engager dans cette voie ne se retrouvent pas au mois d'octobre, sans avoir trouvé d'entreprise. Leur année serait perdue et ils resteraient sur le bord de la route, alors qu'il s'agissait de jeunes motivés, non de jeunes en situation d'échec scolaire, non de jeunes qui tireront l'apprentissage vers le bas. Ils nous disent : « Donnez-moi ma chance, donnez-moi ma place. » Nous souhaitons leur répondre.
Le problème n'est pas de leur verser une rémunération, mais de leur donner ce petit délai qui leur permettra de trouver une entreprise.
(L'amendement n° 1 rectifié est adopté.)