C'est l'évidence : ce texte ne permettra pas d'assurer la dignité de la personne humaine détenue.
Au contraire, en inscrivant dans le marbre le principe des régimes différenciés en fonction de la personnalité du détenu – que nous ne confondons pas avec la nécessité de réponses éducatives, médicales et sociales adaptées à chaque situation forcément singulière –, ce texte consacrera un recul fondamental, eu égard aux principes de notre droit.