Nous étions hostiles au placement de produits. Pour le service public, c'est une intrusion officialisée sur le plan éditorial, une intrusion dans les programmes. Nous sommes défavorables à la publicité à l'intérieur des programmes.
Si le placement produits est définitivement autorisé, je souhaite que le fruit de ce dispositif aille également au diffuseur afin qu'il puisse réinvestir cet argent dans la création ou améliorer ses programmes.