Ils veulent « positiver » leur fonction. Ils veulent être respectés comme ils respectent ceux qu'ils surveillent. Plus que surveiller, ils voudraient pouvoir accompagner. Je ne pense pas que ce texte contienne des éléments permettant de les rassurer et je le regrette.
Mon temps de parole est écoulé et je n'ai pu exprimer qu'une partie de ce que je voulais vous dire. Il y a dans mon propos, vous le sentez, beaucoup d'amertume et de regrets. Je suis convaincu que nous aurions dû prendre le temps nécessaire pour que la profession de surveillant soit en tête de nos préoccupations, ce qui ne semble pas être le cas. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)