Tout d'abord, je voudrais dire à M. Hunault que la contradiction est bien pire encore si nous disons que le détenu est obligé d'accepter alors que l'administration n'aurait rien à lui fournir. Le détenu serait alors en droit de s'élever contre sa carence. On nous reprochait tout à l'heure un double langage. Je pense qu'il y a là une « hémicompréhension » quelque peu gênante.
J'en reviens à la défense de l'amendement n° 194 . L'un de nos collègue a l'habitude de dire : « On ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. »