Les Français refusent ces privatisations car ils en mesurent les dégâts : dégradation du service à l'usager, licenciements, hausse des prix et inégalités entre les territoires.
Alors que tous les textes d'application de la dernière réforme constitutionnelle ont été déposés, le référendum d'initiative citoyenne n'est toujours pas à l'ordre du jour, ce qu'aucune complexité technique ni aucun hasard du calendrier ne justifie. Craignez-vous donc l'avis des Français ?