Nous souhaitons tous, également, le maintien des liens familiaux.
Je ne vais pas énumérer tout ce que nous avons fait jusqu'à présent pour les détenus.
L'amendement n° 35 visait à accompagner sur le plan psychologique les proches d'un détenu décédé par suicide. Je conçois parfaitement le retentissement psychologique sur les proches. Mais cet accompagnement psychologique ne ressortit absolument pas au métier de l'administration pénitentiaire et ne peut être mis à sa charge.