Si nous devons prendre acte, de façon positive, de l'augmentation du nombre des unités de vie familiale ou des parloirs familiaux, il ne convient toutefois d'inscrire dans la loi que des mesures d'ordre général qui soient applicables.
Derrière cet amendement de raison et de lucidité, il y a évidemment l'espoir que nous avancions le plus vite possible dans la réalisation, dans tous les établissements, de ces équipements absolument indispensables – j'interroge du reste le Gouvernement à ce sujet.