Le feuilleton n'est jamais terminé dans ce domaine.
Monsieur le ministre, je vous ai écouté avec attention, avec bienveillance même. Mais la grandiloquence et l'emphase ne suffisent pas à masquer le fait que, d'une certaine façon, cette majorité a remplacé le ministre de la culture par une sorte de préfet de police qui, face au formidable essor des échanges culturels, ne trouve à sortir que ses menottes et sa matraque.