Permettez-moi d'insister, monsieur le secrétaire d'État, car il paraît juste de compenser l'impact des lignes à grande vitesse. De plus, le dispositif proposé est en parfaite cohérence avec une autre disposition du Grenelle de l'environnement qui, dans son article 43, incite les responsables d'activités entraînant des contraintes d'urbanisme à participer à l'aménagement des territoires ainsi impactés. Or, on ne peut construire sur une bande de 300 mètres de chaque côté d'une ligne TGV. Comme le dit si bien la SNCF, le progrès ne vaut que s'il est partagé par tous, donc aussi par les communes traversées !