Nous sommes en train de faire valser les milliards : entre 1,5 et 8 ! Je demande donc une suspension de séance (Exclamations sur les bancs du groupe UMP) pour nous laisser le temps de voir quelle est la réalité des choses, car nous découvrons cet amendement dans des conditions épouvantables. Ce sont des conditions de travail catastrophiques, où le temps nous est compté alors qu'il s'agit d'un sujet d'une particulière importance. De plus, cet amendement nous conduit, même si je ne veux pas faire de procès d'intention, à nous interroger sur la volonté réelle du Gouvernement concernant l'avenir de la RATP. Pour débattre entre nous des éléments que nous a communiqués le secrétaire d'État, pour faire la part de l'équivoque et des réalités, et pour déterminer notre position, je vous demande une suspension de séance d'une heure, monsieur le président. (Vives protestations sur les bancs du groupe UMP.)