Il s'agit en l'occurrence de la réserve opérationnelle, c'est-à-dire des réservistes sous contrat ESR. Il convient d'éviter, comme en 2008, que l'état-major des armées puisse – car rien ne l'empêche – ponctionner un certain montant sur les crédits de cette réserve.
M. François Goulard. La rédaction proposée empêchera-t-elle vraiment pareil phénomène de se reproduire ?