, a estimé que la réponse de l'Office avait toujours été à la fois de prendre en compte tous les points de vue, d'étayer les rapports sur les études scientifiques les plus réputées et, ainsi, de permettre au rapporteur de se forger une « intime conviction ». Cependant, les scientifiques devraient sans doute aussi s'interroger sur leur propre responsabilité dans cet état de fait.