Nous les accompagnons dans toutes les démarches nécessaires, sachant qu'un stade obligé est la reconnaissance par la société de leur statut de victime d'une infraction et de la nécessité d'une réparation symbolique pour leur permettre de rebondir. Une fois reconnues victimes de violences et leurs problèmes de santé réglés, reste pour ces femmes à faire reconnaître leur droit à un logement autonome, sachant qu'elles doivent attendre en moyenne douze mois.