Dans le cadre des violences faites aux femmes, l'apport de partenaires extérieurs, au-delà de l'aspect psychologique, est très important. Aussi essayons-nous de les intégrer systématiquement, qu'il s'agisse d'associations – qui ont souvent leur place dans la direction des formations –, de psychologues ou encore de médecins, chacun apportant son expérience de terrain. Au sortir de ces formations, les policiers ou les gendarmes nous disent chaque fois qu'ils ont beaucoup appris et qu'ils se sentent mieux préparés.