Les comptes sociaux, ce sont les vôtres, monsieur Fillon ! Vous étiez ministre des affaires sociales. Le déséquilibre des régimes de retraite – près de cinq milliards d'euros – et de l'assurance maladie – 6 milliards d'euros, ce sont les vôtres. (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Peut-être n'était-ce pas vous, mais M. Douste-Blazy. Où est-il d'ailleurs, M. Douste-Blazy ? À l'Élysée, nous dit-on ! (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Et, que dire du taux de chômage, l'un des plus forts d'Europe ? (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)