a alors indiqué que si les domaines de l'énergie et des STIC étaient les domaines où naturellement les entreprises étaient les plus présentes, cela ne reflétait pas une orientation particulière de l'ANR vis-à-vis de ces domaines de recherche, l'agence conservant bien entendu ses priorités telles qu'elles sont exprimées dans sa programmation. Ces priorités sont tout à fait comparables à celles qui sont retenues chez nos partenaires européens. Elle a confirmé que les « jeunes pousses » favorisées par l'ANR étaient réellement de nouvelles entreprises, venant pour certaines du monde de la recherche publique. Elle a rappelé que l'ANR se plaçait en amont dans le financement de la recherche, visant plus le précompétitif que l'aval.