a insisté sur la complexité des organismes divers en charge des substances chimiques présentes dans l'environnement et risquant d'altérer la santé, ainsi que sur l'étroitesse du réseau des toxicologues français.
Elle a mentionné que nombre d'éthers de glycol étaient classés comme dangereux, notamment d'un point de vue reprotoxique par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) comme par l'Union européenne et, face à cela, le discours apaisant de l'industrie chimique rappelant que le maximum de précaution était pris et que le risque lié à ces produits, souvent considérés comme irremplaçables, était maîtrisé.