Cette « vieille croissance », c'est la croissance à crédit. Ce sont les dépenses publiques qui ignorent les nouveaux modes de gestion et la responsabilisation des acteurs. C'est le choix des déficits et de la dette qui ont privé l'État de toute marge de manoeuvre.
La « vieille croissance », c'est le dérapage incontrôlé des dépenses sociales (Protestations sur les bancs du groupe socialiste, radical et citoyen et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine) qui n'aura pas empêché nombre de nos concitoyens de basculer dans la précarité.
La « vieille croissance », ce sont les prélèvements obligatoires pour soutenir à bout de bras un système asphyxié.