En Martinique, nous avons signé un accord avec les différents partenaires, qui s'appliquera le 1er avril. Or nous apprenons aujourd'hui que le RSTA ne sera pas en place avant plusieurs mois, ce qui pose le problème du respect des engagements de l'État.
Par ailleurs, le préfet a pressé tous les maires de Martinique de lui transmettre d'urgence des dossiers à présenter au FEI. Tous les services s'y sont mis et, aujourd'hui, on nous fait savoir qu'aucune opération concernant le nord du département, qui fera pourtant partie des zones franches globales, n'a été retenue.
On dit souvent que les élus ne font rien, que l'argent de la LBU n'est pas utilisé, mais nous rencontrons bien des difficultés. Ainsi, dans le cadre du plan de prévention du risque inondation, l'État a décidé, contre notre avis, de classer certaines zones en risque majeur alors qu'elles pourraient servir à la construction.