Je regrette que nous ne disposions pas de plus de temps pour nos échanges, compte tenu du nombre de questions posées et d'organisations présentes.
J'ai toujours eu plaisir à rencontrer les organisations syndicales – j'ai été moi-même longtemps permanent syndical –, mais, aujourd'hui, j'éprouve un peu de peine, notamment après avoir entendu les propos de M. Naudin sur la situation des parlementaires.