Connaissant la mécanique budgétaire de notre pays, il est difficile d'imaginer que le ministère de la défense puisse se voir rétrocéder, dès 2009, le fruit de ventes immobilières réalisées la même année – d'autant qu'elles n'ont pas encore commencé. Dans de pareils cas, l'État bénéficie du fruit de ces ventes un an, voire deux ans après qu'elles ont été conclues.