Le crédit impôt recherche tel qu'il vient d'être redéfini va dans un sens qui convient aux industriels, en particulier parce qu'il est plus lisible.
La politique fiscale pourrait également être orientée de façon à ce que les investissements se dirigent davantage vers la recherche et vers les pôles de compétitivité. Des propositions ont déjà été faites en la matière, sur lesquelles les industriels du LEEM auront l'occasion de se prononcer. Dès que les ministères, les parlementaires, l'ensemble des institutions et les industriels se mettent à travailler ensemble, on voit bien qu'un certain nombre de pistes qui ont déjà été évoquées n'ont pas été suffisamment explorées. Nous souhaitons non pas que l'on ajoute des dispositifs les uns aux autres, mais que l'on se mette autour d'une table, par exemple au sein du CSIS, pour élaborer un véritable projet redéfinissant l'attractivité du pays.