a ajouté qu'il est ressorti de la rencontre du 10 juin que la situation s'était dégradée plus vite encore qu'on ne le pensait. La Délégation aux droits des femmes devrait reprendre contact avec les femmes parlementaires afghanes qu'elle avait reçues. Le Parlement pourrait aussi assurer de son soutien les médecins et personnels médicaux qui se rendent sur place, car ceux-ci ont parfois l'impression de partir dans l'indifférence générale.