La rentabilité des actifs est la somme du revenu régulier et des plus-values. Vous démontrez que ce sont les actions qui ont le plus augmenté en dix ans, puis l'immobilier. Mais si l'on inclut la pression fiscale sur cette rentabilité, le constat d'archaïsme dressé il y a vingt-trois ans est toujours valable.