a exposé qu'une utilisation raisonnée de la biodiversité des écosystèmes pouvait être l'occasion d'une forte inflexion de notre modèle de développement vers la durabilité. Il a insisté sur la nécessité de mieux valoriser les services environnementaux (sanitaires, hydrologiques, agronomiques), ce qui suppose de les réintégrer dans le calcul économique.
Enfin, M. Pierre Laffitte, rapporteur, a noté que la « mémoire de réussite » du vivant pourrait être fortement valorisée industriellement. Il a évoqué, à ce titre, les perspectives offertes par la biomimétique et la bioinspiration, la « boîte à outils » de la quatrième révolution industrielle que vont constituer les biotechnologies, ainsi que les apports de la bioprospection.