a observé que le débat sur les nanoparticules n'avait pas encore atteint le degré de virulence de celui sur la téléphonie mobile et que, dans ce contexte, l'AFSSET avait rendu un avis sur la toxicité des nanomatériaux en 2006. Un nouveau rapport a été rendu sur les bonnes pratiques d'activité, visant à protéger les travailleurs des filières de production qui pourraient être exposés. Une nouvelle saisine porte sur le cycle de vie des nanomatériaux, afin d'étudier les conditions d'une contamination éventuelle des milieux.
Il a aussi indiqué que ces travaux prenaient beaucoup de temps, de un à trois ans, et qu'il leur est donc difficile de concurrencer les productions pseudo-scientifiques de ce point de vue. Par ailleurs, si l'AFSSET devait répondre systématiquement à toutes les allégations, elle devrait se doter d'un service de communication au moins aussi important que celui chargé de l'expertise.