Certes, mais nous l'avons largement rebouché au cours de la dernière année : de nombreuses conventions ont été signées, dont je vous communiquerai la liste.
Faute d'avoir obtenu une réponse de Singapour, je suis allé expliquer à son ministre des finances que l'application de l'article 26 pouvait entraîner des mesures de rétorsion et que son pays pouvait être mis au ban des nations. Il m'est apparu clairement qu'il ne le souhaitait pas et qu'il entendait faire la démonstration que Singapour était une place financière importante en raison de son expertise et non pas uniquement parce qu'on y pratique le secret bancaire. Pour autant, n'avons pas signé la convention parce que le texte nous semblait imparfait. Nous devons faire très attention à ce que nous signons, et contrôler ensuite l'application des conventions.