, a souscrit à son tour au besoin d'études épidémiologiques, en observant que la loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique avait déjà prévu un « plan national de prévention des risques pour la santé liés à l'environnement », devant être élaboré tous les cinq ans, et concernant « les effets sur la santé des agents chimiques, biologiques et physiques présents dans les différents milieux de vie » (article L. 1311-6 du code de la santé publique), mais que cette disposition n'était pas appliquée. Elle a estimé en revanche que les populations ne feraient pas de distinction entre les différents types de déchets nucléaires, et qu'un site de stockage de déchets graphites susciterait autant de préventions qu'un site de déchets à haute activité. Elle a insisté sur les précautions à prendre pour que les stockages souterrains ne perturbent pas l'exploitation des ressources géothermiques potentielles du sous-sol français.