évoquant son expérience d'ancien président de Champagne-Ardennes à l'époque des premiers débats sur le stockage souterrain, a appuyé le refus de M. Christian Bataille d'une éventuelle extension du site de Bure à d'autres catégories de déchets nucléaires. Il a défendu le besoin de conduire des études épidémiologiques de l'ensemble de la population, de manière à pouvoir disposer d'informations pour toutes sortes de sujets médicaux, puis a rappelé l'intangibilité du principe de réversibilité, qui serait fixé dans son contenu au terme d'un processus bien défini par la loi.