est revenu sur le handicap auquel va se heurter la poursuite des recherches sur la transmutation, du fait de la fermeture de Phénix. Il s'est félicité en revanche de la poursuite de l'effort belge conduit au Centre d'étude de l'énergie nucléaire de Mol pour étudier la voie de la transmutation utilisant un accélérateur (ADS). Il a constaté que les opérateurs industriels ne participent aux programmes de recherche sur les réacteurs de quatrième génération qu'en laissant au second plan les questions de transmutation.