a expliqué que les études hydrogéologiques connaissaient un regain d'intensité grâce aux forages réalisés en vue d'identifier la ZIRA, en indiquant que ceux-ci permettraient notamment d'affiner le modèle de migration du sel, dont le forage profond à plus de 2 000 mètres atteignant la couche du Trias, pourrait également éclairer l'origine.