Nous avons eu confirmation hier que M. Lagardère et le représentant de Daimler-Chrysler avaient rencontré en novembre 2005 le ministre de l'Économie et des finances de l'époque pour lui faire part non seulement de leur intention, mais de leur décision de vendre leurs participations. Dans l'hypothèse où c'est vous qui auriez été en place, auriez-vous estimé nécessaire, par souci de transparence, d'informer le marché ou auriez-vous, au regard de l'importance stratégique de l'entreprise, plutôt choisi de conserver une certaine confidentialité ?