Franchement, nous n'en sommes plus à l'époque où l'on me rendait responsable de la faillite du Lyonnais ! La Metro Goldwyn Mayer était dans le coup mais à part cela, rappelez-vous, c'était moi : j'étais copain avec Béré, il suffisait que je pousse la porte du Crédit Lyonnais et que je demande un milliard pour qu'on me file un milliard ! Or, dans le même moment, ils savaient que je rapportais ces sommes-là. Ce n'est pas indécent, c'est carrément dégueulasse !