Le reste, ç'a été la vente des titres TF1, l'utilisation d'une partie de mon compte courant, un emprunt auprès des Allemands et des Japonais : il n'y avait même pas d'autre banque française. Il faut donc rester très relatif.
Le Président Didier Migaud : Vous souhaitez que l'on prenne en considération ce que vous avez pu rapporter à l'État. Dans le même temps, vous faites observer que le montage réalisé a permis une évasion fiscale : là, l'État n'a par définition rien touché !