Soit, mais il comporte deux éléments contestables.
En premier lieu, je ne vois pas comment vous pouvez établir un pronostic fiscal alors que, franchement, c'est impossible – pas même dans une fourchette. On sait que c'est un complément de prix, que ce sera au moins le complément de prix lié à la plus-value, mais on ne sait pas à quelle époque ce sera raccroché.
On a fait appel à mon sens de la responsabilité. Aux termes de l'arrêt de la cour d'appel, l'éventuelle différence entre l'imposition actuelle et celle que j'aurais dû payer à l'époque est prise en charge par la partie adverse : s'il n'y a pas d'arnaque, c'est bien l'impôt de l'époque que je dois payer. Or j'ai personnellement fait savoir que je refusais que l'État, pour quelque raison que ce soit, paie mes impôts.