Vous avez indiqué que 60 % des dépenses de maintenance de l'armée de terre étaient consacrées aux régiments de combat, notamment ceux équipés de chars Leclerc. Cette orientation est-elle justifiée ? Au Liban, on a l'impression à la fois que les déplacements des chars Leclerc sont contraints et que leur puissance de feu est surdimensionnée. Alors que le Président de la République déploie tous ses efforts pour instaurer la paix dans cette partie du monde, on le sentiment que si un de ces chars tirait un obus, il y déclencherait l'apocalypse.
Nous sommes engagés dans de nombreuses OPEX, y compris en Europe. Le rôle de la France est-il d'être le gendarme de l'Europe. Doit-on être aussi présents au Tchad ?
Enfin, vous avez dit qu'il fallait renoncer à certains effets d'uniforme. Pourriez vous préciser ce que vous entendez par là ?