a relevé la complexité des questions relatives aux usages et à l'impact sur la société des produits créés, l'intérêt de faire appel aux sciences humaines, et la nécessité de créer des centres où sciences dures et sciences humaines collaborent, M. Jean-Pierre Finance observant que c'était le rôle des universités.
Après que M. Henri Revol eut rappelé que l'Office avait engagé un partenariat avec l'Académie des sciences, M. Michel Petit a évoqué l'expérience du Groupe intergouvernemental sur le climat (GIEC), au sein duquel s'est dégagé un consensus au niveau international, tout en soulignant la lourdeur de la procédure de décision.