a relevé que les scientifiques étaient peu représentés au sein du Grenelle de l'environnement et observé que certains sujets n'avaient été qu'effleurés, comme celui relatif à la taxe carbone. Les approches des problèmes paraissent plus sentimentales que rationnelles et des questions n'ont pas été abordées, comme, par exemple, la possibilité d'utiliser l'électricité pour réduire les émissions de CO2. On peut également regretter la faible présence du ministère de la Recherche.