ayant considéré que le doctorat devait être reconnu par les conventions collectives, M. Jean-Claude Lehmann a observé qu'il fallait avancer avec prudence sur cette voie qui, mal engagée, peut avoir des effets pervers et constituer un frein à l'embauche, et M. Laurent Gouzenes a rappelé que les conventions collectives prenaient en compte les postes occupés, et non les diplômes.