Jean-Marc Egly, de l'Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire, IGBMC, membre de l'Académie des sciences :
a observé qu'il n'y avait pas de prise de risque et s'est interrogé sur les seuils de sélectivité des projets à 5%, qui sont inefficaces, et à 25%, qui le sont moins sur le long terme, 15% semblant un optimum.