Disposez-vous de ratios pour distinguer la part respective des investissements et des dépenses de fonctionnement financée par la dette ? Ce rapport évolue-t-il ? Nous avons l'impression qu'une part importante de la dette finance des dépenses courantes.
Y a-t-il un niveau de dette au-delà duquel il ne faudrait pas aller ? L'endettement est tel que le remboursement des intérêts est devenu le second poste budgétaire, derrière l'éducation nationale. Où placez-vous la cote d'alerte ?