Bien sûr. Je le répète : les conseils d'administration de SOGEPA et de SOGEADE exécutent des décisions qui sont prises par ailleurs.
De même, concernant Lagardère, si l'État pouvait également préempter les 7,5 %, ce droit n'était que théorique, car il avait accepté, lors de la constitution d'EADS, de limiter, à la demande pressante des Allemands d'ailleurs, sa participation à 15 % au maximum.
Pour ce qui est du second point – dilution conjointe ou pas –, M. Breton, ministre de l'Économie et des finances à l'époque, a estimé que la participation de l'État était stratégique, et celui-ci n'a pas vendu.