Auditionné comme tous les autres responsables d'EADS et d'Airbus en septembre 2006 par moi-même en qualité de rapporteur pour les transports aériens, Noël Forgeard a bien indiqué que le groupe était parfaitement au courant d'un dérapage possible, mais que si personne ne s'était inquiété c'était parce que les responsables techniques des usines allemandes où était né le problème nous assuraient qu'ils étaient capables de faire face à celui-ci.
Les représentants de la direction de l'APE et du Trésor peuvent-ils nous affirmer qu'ils ne savaient rien et qu'ils ont tout appris par la presse ?