a fait valoir que cette question relève de la politique de l'emploi. Si une femme a choisi, pour des raisons personnelles, de travailler à temps partiel, on peut comprendre que les salaires portés au compte au moment de liquider la retraite soient moins élevés que ceux d'une personne qui a choisi de travailler à temps plein. La problématique de l'emploi entre en jeu s'il s'agit de temps partiel subi et que les femmes travaillent alors dans des conditions qu'elles n'ont pas choisies et perçoivent ensuite des pensions moindres. C'est une vraie question. Mais est-ce bien au régime de retraite de rattraper les difficultés de la vie active ? N'y a-t-il pas un effort plus structurel et beaucoup plus en amont à faire, afin que le temps partiel subi soit le moins subi possible ?