s'est demandé pourquoi le présent décret d'avance comporte des ouvertures d'autorisations d'engagement et pourquoi celles-ci sont d'un montant différent de celui des crédits de paiement.
Le Rapporteur général a appelé que la LOLF a complété la traditionnelle comptabilité de caisse par une comptabilité d'engagement et, à ce titre, appliqué aux dépenses de fonctionnement la distinction classique entre les autorisations d'engagement et les crédits de paiement. S'agissant des dépenses de personnel, les autorisations d'engagement et les crédits de paiement sont bien sûr strictement équivalents. Le décalage provient donc de crédits de fonctionnement ou d'intervention.